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Droit fiscal

Entreprises domiciliées en Allemagne : Pour pouvoir déduire la TVA, il n’est pas indispensable que des activités commerciales soient exercées à l’adresse de facturation

Ulrich Martin DEA / DESE
Rechtsanwalt
martin@rechtsanwalt.fr
+33 (0) 3 88 45 65 45
Jörg Luft
Rechtsanwalt
luft@rechtsanwalt.fr
+49 (0) 7221 30 23 70

Le Finanzgericht (équivalent en Allemagne du tribunal administratif aux affaires fiscales) de Cologne juge dépassée la position selon laquelle des activités commerciales doivent être exercées à l’adresse de facturation. Dans une décision rendue au printemps 2015, il a jugé qu’un professionnel allemand pouvait déduire la TVA sur des factures mentionnant une adresse à laquelle aucune activité commerciale, ou du moins aucune activité de bureau, n’était exercée. 

De quoi s’agissait-il au cas d’espèce ? 

Le centre des impôts allemand avait refusé au demandeur, un revendeur automobile allemand, le remboursement de la TVA sur des factures concernant l’achat de véhicules. Le centre des impôts se fondait sur le fait que l’émetteur des factures était une société fictive puisqu’il n’avait pu être constaté que celui-ci avait exercé, à l’adresse indiquée, des activités commerciales, quelles qu’elles soient. Il était à tout le moins évident, selon le centre des impôts, que l’émetteur des 

factures ne pouvait pas exercer d’activités de bureau à l’adresse indiquée puisqu’il n’y disposait pas de locaux adaptés. Or, le demandeur avait attesté avoir récupéré les véhicules « sur place » chez son partenaire commercial. En outre, il avait déclaré avoir vérifié, selon ses possibilités, le numéro de TVA intracommunautaire de ce partenaire ainsi que sa carte d’identité, un extrait k-bis et son numéro fiscal. Suite au rejet par le centre des impôts de la déduction de la TVA pour cause de « fausse adresse de facturation », le demandeur avait sollicité que soit rendue, pour raisons d’équité, une autre décision de liquidation de l’impôt (art. 163 AO, Livre allemand des procédures fiscales). Cette demande avait été rejetée par le centre des impôts, dans le cadre de sa décision rendue sur opposition. 

Pourquoil’exercice d’une activité commerciale à l’adresse de facturation n’est pas nécessaire ? 

Le revendeur allemand avait fait appel de cette décision par devant le Finanzgericht de Cologne, qui lui a donné raison (voir le jugement du Finanzgericht FG Köln, Urteil v. 28.4.2015, 10 K 3803/13). Au regard de l’évolution des techniques et des pratiques commerciales, le tribunal considère que les exigences posées concernant l’adresse, à savoir que des activités commerciales doivent y être exercées, sont dépassées. La mention de l’adresse sur la facture a pour but d’identifier clairement le professionnel qui fournit la prestation et doit notamment permettre à l’administration fiscale de contacter ce dernier par écrit. Si ce contact est garanti (p. ex. pour l’envoi de correspondance ou d’actes), la nature des activités exercées à l’adresse postale importe peu. 

Entretemps, un pourvoi en cassation a été interjeté auprès du Bundesfinanzhof (Cour fédérale des finances – en abrégé « BFH ») (numéro de dossier V R 25/15). Même jusque dans ses dernières décisions, le BFH maintient manifestement que des activités commerciales doivent effectivement aussi être exercées à l’adresse indiquée sur la facture (voir Arrêt du 26.9.2014, XI S 14/14 et du 18.2.2015, V S 19/14). Toutefois, en fonction de circonstances particulières, le fait de mentionner l’adresse d’une société écran permettant de recevoir la correspondance postale comme adresse répondant aux conditions prévues à l’article 14 al. 4 phrase 1 n° 1 UStG (loi allemande relative aux dispositions applicables en matière de TVA) suffit.

21 décembre 2015
https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg 0 0 epp.content https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg epp.content2015-12-21 12:59:002021-04-07 11:08:14Entreprises domiciliées en Allemagne : Pour pouvoir déduire la TVA, il n’est pas indispensable que des activités commerciales soient exercées à l’adresse de facturation
Droit fiscal

Entreprendre en Allemagne : Risques liés au statut fictif de travailleur indépendant (« Scheinselbständigkeit »)

Ulrich Martin DEA / DESE
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Jörg Luft
Rechtsanwalt
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La question du statut fictif de travailleur indépendant se pose en permanence aux entreprises allemandes. Il est souvent difficile en Allemagne de déterminer si un preneur d’ordre exerce à titre de travailleur indépendant ou pas dans la mesure où des règles légales précises font défaut en la matière. Parmi les nombreuses formes que peut revêtir l’activité de collaborateurs externes, il est difficile pour les entrepreneurs accordant des marchés de déterminer à partir de quand les preneurs d’ordre sont effectivement intégrés dans leur structure et exercent donc leur activité dans le cadre d’un lien de subordination, ce qui leur confère alors le statut de salariés soumis à l’obligation de cotiser à la sécurité sociale. 

Sur quels éléments l’employeur peut-il se baser ? 

En principe, seule compte la situation réelle. A cet égard, les juridictions allemandes ont défini au cours des dernières décennies des « critères de différenciation » à partir desquels ont été élaborés des éléments marquants caractérisant une activité professionnelle salariée d’une part et d’autres 

éléments marquants définissant une activité indépendante d’autre part. En fonction de la pondération de ces éléments, l’employeur allemand doit déterminer quels arguments sont prépondérants : ceux en faveur d’un emploi salarié ou ceux en faveur d’une activité indépendante. Cette entreprise se révèle à certains égards particulièrement difficile et toute mauvaise décision peut avoir de lourdes conséquences. 

Quelles sont les obligations élémentaires d’un employeur allemand au regard du droit de la sécurité sociale ? 

En tant que débiteur des cotisations de sécurité sociale, tout employeur doit respecter dans les meilleurs délais les obligations auxquelles son statut le soumet (obligation de déclaration, de retenue à la source et de versement des cotisations de sécurité sociale). A ce titre, il se doit également de déterminer si une situation d’emploi salarié existe (§ 7 du Code allemand de la sécurité sociale Livre IV – SGB IV). S’il omet de vérifier l’obligation d’affiliation et de cotisation de la personne concernée et qu’il ne la déclare pas, l’employeur sera le seul, en sa qualité de débiteur des cotisations, à répondre de cette omission envers la sécurité sociale. Dans ce domaine, les salariés allemands bénéficient d’une certaine protection puisque l’employeur ne peut leur réclamer la part salariale des cotisations de sécurité sociale que pour les 3 derniers mois. C’est la raison pour laquelle l’employeur doit évaluer la situation dans les meilleurs délais (§ 28g SGB IV). 

Comment l’employeur allemand peut-il se protéger ? 

Dès qu’il a des doutes sur l’existence d’une situation d’emploi salarié, l’employeur doit prendre contact avec un « organisme compétent ». Dans les cas complexes, il peut recevoir le soutien de la chambre fédérale allemande d’arbitrage en matière d’assurance vieillesse (Clearingstelle der Deutschen Rentenversicherung (DRV) Bund). Celle-ci statue gracieusement, dans le cadre d’une procédure facultative, sur la question de savoir si une situation d’emploi salarié existe ou pas. Si une demande en ce sens est formulée dans les 4 semaines suivant le début d’activité, il peut même être accordé une protection garantie par la loi aux personnes de bonne foi (« Vertrauensschutz »). En effet, les cotisations ne sont à verser qu’une fois la décision définitive prise et uniquement pour l’avenir, pour autant que l’assuré donne son accord et qu’il a pris des dispositions en ce sens. Quiconque dépose une demande en constatation d’état (« Statusfeststellungsantrag ») au-delà du délai de 4 semaines, ou ne dépose aucune demande en ce sens, doit s’acquitter des cotisations dès le départ. A cet égard, il peut se voir réclamer des arriérés importants, voire également être sanctionné. 

Quelles sanctions peuvent être prononcées ? 

Juger de l’existence d’une obligation d’affiliation ne relève pas du « pouvoir d’appréciation » de l’employeur. Le non-versement des cotisations de sécurité sociale est sanctionné dans la mesure où les cotisations font partie du patrimoine de la sécurité sociale. Le fait de ne pas verser de cotisations de sécurité sociale est un délit pénal, qui peut être constitué même par omission (§ 266a du Code pénal allemand – StGB). 

Si l’employeur conclut avec des indépendants fictifs des contrats dont les termes ne reflètent pas la réalité, ces contrats sont même entachés de nullité (§ 32 SGB I). Il est interdit d’exclure une obligation d’affiliation par convention sous seing privé. 

Si l’employeur ne respecte pas les obligations essentielles auxquelles le soumet son statut, le législateur postule l’existence d’une situation de travail illégal (§ 14 al. 2 phrase 2 SGB IV). En matière de sécurité sociale, il est procédé dans un premier temps à une estimation de la rémunération nette puis à la fixation du montant des cotisations sur cette base. Le préjudice lié au non-versement des cotisations s’en trouve alors fortement augmenté. 

Les cotisations se prescrivent seulement à l’expiration d’un délai de 30 ans et il est ordonné le versement de majorations de retard. 

Quelles conséquences l’indépendance fictive peut-elle avoir en cas d’accident du travail ? 

Si l’indépendant fictif est victime d’un accident du travail et s’il s’agit en réalité d’une personne devant être considérée comme un employé soumis au régime obligatoire de sécurité sociale, la caisse d’assurance Accidents pourra se retourner contre l’entrepreneur allemand (art. 110 al. 1a SGB VII), qui sera alors tenu au dédommagement de l’intégralité du préjudice subi par cette dernière et devra prendre en charge l’ensemble des frais tels que frais d’hospitalisation, indemnité due à la victime, soins etc. 

Il n’est pas rare que les avis de déclaration soient adressés « a posteriori » aux organismes de sécurité sociale. Dans ces cas précisément, la Berufsgenossenschaft (caisse d’assurance des accidents du travail) vérifie la date à laquelle l’assuré victime d’un accident a été affilié à la DRV et postule l’existence d’un travail illégal dans la mesure où la déclaration a été faite tardivement. A cet égard, la Berufsgenossenschaft demande à la DRV de lui communiquer la date de réception de la déclaration.

21 décembre 2015
https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg 0 0 epp.content https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg epp.content2015-12-21 12:55:002021-04-07 11:07:49Entreprendre en Allemagne : Risques liés au statut fictif de travailleur indépendant (« Scheinselbständigkeit »)
Droit fiscal

Intégration fiscale en Allemagne : Responsabilité de la société intégrée au titre des dettes fiscales de la société tête de groupe d‘intégration

Ulrich Martin DEA / DESE
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Contrairement à la France, il peut être constitué en Allemagne un groupe d’intégration fiscale non seulement en ce qui concerne l’impôt sur les sociétés (IS), mais également pour tous les autres impôts et taxes dus par les sociétés (TVA, taxe professionnelle etc.). Dans une affaire récemment jugée, le tribunal saisi a constaté qu’une société allemande membre d’un groupe d’intégration fiscale n’était pas seulement responsable des impôts dus par sa propre structure, mais également de la totalité des dettes fiscales de la société tête de groupe. 

Au cas d’espèce, il s’agissait d’une intégration fiscale indirecte par rapport à l’IS. Suite à l’insolvabilité de la société tête de groupe, l’administration fiscale allemande avait réclamé à la société intégrée concernée une partie des arriérés d’IS dus par la société tête de groupe. Dans le cadre de son pouvoir discrétionnaire, l’administration fiscale a considéré que la responsabilité de la société intégrée pouvait être limitée aux impôts générés par ses propres activités, en se basant sur la part du revenu de ladite société intégrée dans la somme des bénéfices du groupe. La responsabilité des autres sociétés formant un groupe d’intégration fiscale avec la société tête de groupe a également été engagée par l’administration fiscale. Dans le cadre de son recours, la société intégrée concernée s’était opposée sans succès à l’existence de la dette initiale, à l’application de la norme de responsabilité à un groupe d’intégration fiscale uniquement indirecte ainsi qu’à l’exercice du pouvoir discrétionnaire par l’administration fiscale. 

Le Finanzgericht (tribunal du contentieux fiscal) de Düsseldorf qui a statué sur cette affaire a débouté la société intégrée en sa demande, en soulignant que sa responsabilité n’était pas limitée à la TVA et à la taxe professionnelle mais qu’elle incluait également l’impôt sur les sociétés et la contribution générale de solidarité (FG Düsseldorf, jugement en date du 19.02.2015, 16 K 932/12 H(K) – pourvoi au BFH (Cour fédérale des finances) autorisé. FG Düsseldorf, newsletter du 

3.9.2015). Selon le Finanzgericht, la responsabilité s’appliquerait également à l’intégration fiscale indirecte. La société intégrée ne serait pas seulement responsable des impôts générés par sa propre activité, mais également de toutes les dettes fiscales de la société tête de groupe, et ceci serait conforme non seulement aux textes législatifs allemands mais aussi à la volonté du législateur : celui-ci ne souhaitait pas une limitation de responsabilité au regard des éventuelles difficultés pratiques et avait donc placé la question de l’étendue de la responsabilité dans le champ du pouvoir discrétionnaire de l’administration fiscale.

9 novembre 2015
https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg 0 0 epp.content https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg epp.content2015-11-09 11:44:002021-04-06 11:45:43Intégration fiscale en Allemagne : Responsabilité de la société intégrée au titre des dettes fiscales de la société tête de groupe d‘intégration
Droit fiscal

Entreprises allemandes : Compliance et prix internationaux de transfert

Ulrich Martin DEA / DESE
Rechtsanwalt
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En raison du plan d'action BEPS de l'OCDE, des données financières supplémentaires devront sans doute à l'avenir être recueillies pour le Country-by-Country-Reporting (CbCR). Des documentations plus larges vont vraisemblablement être demandées en ce qui concerne les prix de transfert. La date limite prévue pour la remise des documents étant très proche, cela va forcer les entreprises à développer d'autres solutions automatisées. 

Depuis 2003, les entreprises allemandes ont l’obligation de documenter leurs transactions de marchandises et de services effectuées à l'intérieur de leur groupe lorsque ces transactions traversent une frontière. Toutes transactions entre sociétés du même groupe y compris une motivation expliquant pourquoi les prix de transfert appliqués sont fiscalement justifiés (arm’s length principle) doivent être documentées. Si cette exigence de conformité (compliance) n'est pas accomplie, l’administration fiscale allemande pourra prononcer des sanctions appropriées comme par exemple un supplément pouvant aller jusqu'à 10% du montant la rectification sur les prix de transfert ou sur les bénéfices, une taxation de la rectification des bénéfices à la charge du contribuable ou encore une peine sanctionnant le retard du dépôt de la documentation sur les prix 

de transfert pouvant aller jusqu'à 1 million d'euros (§ 162 Al. 3 livre des procédures fiscales allemand : AO). 

En 2013, un projet de plan d'action de l'OCDE concernant le projet „Base Erosion and Profit Shifting“ (BEPS) a été publié. Ce projet est centré sur l'exigence posée par l'administration fiscale d'une plus grande transparence en ce qui concerne les groupes de sociétés qui paient leurs impôts au niveau local sur la création de valeur ajoutée. Cette mesure 13 „la vérification de la documentation relative au prix de transfert“ du projet décrit en particulier le fait que les entreprises devront à l'avenir intégrer à la documentation sur les prix de transfert un important volume de données dans le cadre d'un prénommé „Country-by-Country-Reporting“ (CbCR). Si ce projet OCDE était adopté, le droit de contrôle et le pouvoir de l’administration fiscale sur les entreprises devrait augmenter afin de récolter des informations fiscales dans l'entreprise qui n'étaient pas requises préalablement. 

Afin de respecter l’obligation légale actuelle de documentation, des documents retraçant les faits de manière objective et des documents spécifiques relatifs aux transactions sont à établir pour toutes les prestations de services et livraisons de marchandises transfrontalières et intragroupes. En pratique, cette documentation sera typiquement construite sur la base de la dite „Intercompany Matrix“ qui recense les transactions. Le but serait de produire une matrice des transactions très largement automatisée. 

Ce travail fastidieux se voit complexifié par le fait que l'OCDE attend que la documentation sur les prix de transfert (et ainsi que „l'Intercompany Matrix“) soit à l'avenir établie avec la remise de la déclaration fiscale de la société locale. Il ne s'agit donc pas seulement d'établir le volume de transactions entre deux sociétés du même groupe, il faut en effet aussi prendre en compte le type de transaction ainsi que les prix de transfert. Si la procédure interne n'est pas clairement définie, il sera impossible de respecter les délais qui sont partiellement fixés entre mars et juin de l'année suivante. Ce travail de communication des documents se répète chaque année pour tous les groupes de sociétés. 

Le projet de l'OCDE prévoit par exemple certaines données à fournir par société : 

  • Le siège de gestion effective 
  • Le chiffre d'affaires 
  • Bénéfice avant impôt 
  • Somme d'impôt sur le revenu versée (sur la base de paiement au comptant) : (a) au pays de l'organisation, (b) à tous les pays 
  • Somme des impôts prélevés à la source 
  • Capital souscrit et cumul des bénéfices 
  • Nombre de salariés 
  • Frais de personnel 
  • Moyens d'exploitation et placements des capitaux outre les liquidités ou moyens équivalents 
  • Somme des redevances payées par les sociétés de groupe 
  • Somme des redevances perçues par chaque société de groupe 
  • Somme des intérêts payés par les sociétés de groupe 
  • Somme des intérêts perçus par les sociétés de groupe 
  • Somme des commissions de service payées par les sociétés de groupe 
  • Somme des commissions de service perçues par les sociétés de groupe 
  • Indication des 25 travailleurs les mieux payés d'une division par titre et pays du siège de l'entreprise 

15 juin 2015
https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg 0 0 epp.content https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg epp.content2015-06-15 10:14:002021-04-07 10:23:39Entreprises allemandes : Compliance et prix internationaux de transfert
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