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Entreprises en difficultés

Entreprises en Allemagne : Responsabilités des gérants en cas de paiements effectués après la survenance de l’état de cessation des paiements

Ulrich Martin DEA / DESE
Rechtsanwalt
martin@rechtsanwalt.fr
+33 (0) 3 88 45 65 45

Il est interdit aux sociétés de capitaux et aux GmbH & Co. KG (sociétés en commandite à responsabilité limitée de droit allemand) de procéder à tout paiement ou à toute opération financière conduisant à une diminution du patrimoine social dès la survenance d’un état de cessation des paiements de l’entreprise. Un manquement à cette règle entraîne, en principe, la mise en jeu de la responsabilité personnelle du gérant allemand (§ 64 de la loi allemande relative aux sociétés à responsabilité limitée - GmbHG -, § 130a du Code de commerce allemand, HGB). Dans une décision récente, le Bundesgerichtshof (Cour fédérale de justice) a renforcé la sécurité juridique des gérants qui, après la survenance de l’état de cessation des paiements, souhaitent poursuivre l’exploitation du fonds de commerce en vue de redresser l’entreprise et qui, pour ce faire, doivent procéder à des paiements. Si une entreprise en difficulté reçoit une contrepartie en lien économique direct avec un paiement de sa part, son gérant pourra être libéré de sa responsabilité au titre du prélèvement effectué sur le patrimoine social si, au moment où cette contrepartie bénéficie à l’entreprise, celle-ci a une valeur certaine. 

Il est interdit aux sociétés de capitaux et aux GmbH & Co. KG (sociétés en commandite à responsabilité limitée de droit allemand) de procéder à tout paiement ou à toute opération financière conduisant à une diminution du patrimoine social dès la survenance d’un état de cessation des paiements de l’entreprise. Cette règle a pour but la préservation du patrimoine social à répartir ultérieurement entre les créanciers dans le cadre de la procédure collective. De ces prescriptions légales, on peut conclure qu’une responsabilité du gérant n’est envisageable que si la diminution du patrimoine social n’est pas compensée par des 

contreparties. Le Bundesgerichtshof a adapté sa jurisprudence antérieure en ce sens que, pour déterminer si la contrepartie a un caractère certain ou non, il convient de considérer le moment où l’entreprise bénéficie effectivement de ladite contrepartie (voir arrêt en date du 18.11.2014, Az. II ZR 231/13). Par le passé, une compensation n’était reconnue que si, au moment de l’ouverture de la procédure collective, elle faisait encore partie des actifs de l’entreprise. Ainsi, la compensation devait non seulement être intégrée au patrimoine social, mais aussi y demeurer. 

La décision susvisée facilite le redressement des entreprises en difficulté devant à court terme déposer une demande d’ouverture d’une procédure collective en ce qu’elle améliore également, en règle générale, les chances de poursuite de leur exploitation ainsi que les perspectives de redressement dans le cadre d’une procédure collective. Grâce à un échange le plus direct possible entre un paiement et une contrepartie équivalente, ce sont aussi les conditions de réalisation de ce qu’on appelle en droit allemand un Bargeschäft (acte juridique par lequel le débiteur reçoit une contrepartie en lien direct avec son paiement) qui se trouvent remplies, de sorte que toute remise en cause, dans le cadre de la procédure collective, du paiement effectué par le débiteur au profit de son partenaire commercial est, en règle générale, impossible. 

Observation : Cette décision n’a aucune conséquence sur l’obligation légale, à partir du moment de la survenance de l’état de cessation des paiements, de dépôt d’une demande d’ouverture d’une procédure collective dans un délai maximal de trois semaines. 

3 mars 2015
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Entreprises en difficultés

Cessation des paiements des entreprises en Allemagne (insolvabilité) : Conséquences et chances pour associés et gérants

Ulrich Martin DEA / DESE
Rechtsanwalt
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Pour la plupart des entrepreneurs allemands, un état de cessation des paiements (insolvabilité) de leur société est aujourd’hui encore le plus souvent synonyme de coup d’arrêt final pour leur activité économique. Et à cela, la réforme du droit de la faillite intervenue en Allemagne en 1999 (introduction d’un code régissant les entreprises en difficultés « Insolvenzordnung » - InsO) n’a, sur le principe, rien changé. La simplification du redressement de l’entreprise, voulue par le législateur allemand dans le cadre de sa réforme, ainsi que la poursuite de l’activité par l’ancien dirigeant constituent encore l’exception dans la mesure où la demande de constatation de l’état de cessation des paiements auprès du tribunal compétent est souvent bien trop tardive. En pratique, les administrateurs judiciaires privilégient, dans la majorité des cas, la solution que constitue un plan de redressement par voie de cession, c’est-à-dire la cession de l’intégralité de l’entreprise. 

Il est donc d’autant plus important pour les gérants et entrepreneurs d’une GmbH (SARL de droit allemand) de réagir dès les premiers signes d’une situation de crise afin qu’il puisse être procédé à temps au redressement de l’entreprise, par exemple grâce à un moratoire et à des négociations extrajudiciaires avec les établissements bancaires et les créanciers. Tout entrepreneur devrait néanmoins envisager l’éventualité d’un état de cessation des paiements de son entreprise dès la phase de constitution de la société. Sinon, notamment les entrepreneurs de moyennes entreprises s’exposent à un risque élevé dans la mesure où un état de cessation des paiements cache souvent aussi un risque de responsabilité personnelle. Pour limiter sa responsabilité, l’entrepreneur ne doit pas uniquement choisir entre une GmbH (SARL de droit allemand) et une GmbH & Co. KG (société en commandite à responsabilité limitée de droit allemand), car pour ces types de sociétés également, il est normal que le propriétaire, du moins envers les banques, soit personnellement responsable. Et si en plus, les biens patrimoniaux du conjoint ont été apportés à titre de sûretés, c’est la famille dans son ensemble qui risque la faillite. 

En plus du choix de la bonne forme juridique, l’entrepreneur peut également préserver ses biens et ceux des membres de sa famille grâce à ce que l’on appelle une scission d’entreprise (« Betriebsaufspaltung »). Par « scission d’entreprise », on entend le fait de sortir les immobilisations, notamment le patrimoine immobilier, du patrimoine social et de les donner en location à l’entreprise d’exploitation chargée de l’opérationnel (et, de ce fait, exposée au risque d’insolvabilité). Cela retire ainsi à tout futur administrateur judiciaire la possibilité de réaliser ces actifs. Néanmoins, la scission d’entreprise pose problème dès lors que le patrimoine immobilier reste entre les mains des associés et n’est pas transféré, à tout le moins, à des membres de leur famille proche. Cela peut en effet conduire à ce que l’administrateur judiciaire demande à l’associé à jouir gracieusement du bien immobilier, jusqu’à nouvel ordre. Etant donné que, dans ce cas, plus aucun loyer n’est versé, le patrimoine immobilier risque d’être revendu. 

En définitive, il convient d’éviter que, en cas de cessation des paiements d’une entreprise familiale, tous les membres de la famille aient à pâtir de cette situation. En général, il est recommandé, dès le début, de faire un usage prudent des biens privés donnés à titre de sûretés et de ne pas les mettre à disposition des créanciers sans distinction ni limitation dans le temps, mais d’en restreindre l’usage, de manière ciblée et dans le temps, p. ex. à la garantie de prêts relais à court terme. 

Etant donné qu’il n’est pas garanti que les tentatives de redressement menées dans un contexte de crise de l’entreprise soient fructueuses, la responsabilité civile et pénale du gérant revêt une importance toute particulière. Cela concerne moins les délits de banqueroute, qui, en règle générale, mettent en jeu une volonté criminelle, que les cas, plus courants, de mise en jeu de la responsabilité civile et pénale pour non-versement des cotisations de sécurité sociale, omission de dépôt de la demande de déclaration de l’état de cessation des paiements dans les délais ou de non-versement de taxes et impôts, notamment la retenue à la source de l’impôt sur le revenu et la TVA, ce dernier fait engageant la responsabilité personnelle du gérant. A cet égard, le gérant d’une GmbH en Allemagne ne peut invoquer l’ignorance de la loi pour éviter d’être tenu personnellement responsable. Même des transferts de patrimoine anodins tels que des remboursements d’emprunts ou le paiement de créances ouvertes, effectués juste avant ou après le dépôt de la demande de déclaration de l’état de cessation des paiements, peuvent, dans nombre de cas, faire l’objet d’une contestation ultérieure par un administrateur judiciaire. 

Un tribunal social allemand a récemment décidé que la caisse professionnelle d'assurances sociales doit reconnaitre l'accident d'un salarié en tant qu'accident pris en charge par l'assurance même si, comme dans le cas présent, un membre d'un comité d'entreprise a chuté dans un hôtel alors qu'il était sur le chemin de retour d'une conférence d'entreprise avec un taux d'alcool de 1,99 gramme (Tribunal social Heilbronn, Jugement du 28.05.2014, S 6 U 1404/13 K). 

17 février 2015
https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg 0 0 epp.content https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg epp.content2015-02-17 12:58:002021-04-06 18:24:23Cessation des paiements des entreprises en Allemagne (insolvabilité) : Conséquences et chances pour associés et gérants
Entreprises en difficultés

Entreprise allemande en état de cessation des paiements (insolvabilité) : Administration directe

Ulrich Martin DEA / DESE
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Une possibilité de garantir aux anciens dirigeants d’une entreprise les droits généraux d’administration et de disposition, dans le cadre d’une procédure collective, consiste à déposer une demande en administration directe. Cette demande est à adresser au tribunal en même temps que la demande d’ouverture d’une procédure collective (§ 270 InsO – Code allemand régissant les entreprises en difficulté). En cas de dépôt de demande par un tiers, le créancier concerné doit expressément donner son agrément à l’administration directe. 

L’administration directe est une procédure dite « sans administrateur judiciaire » (« verwalterloses Verfahren »). Cela signifie que le débiteur failli assure lui-même l’ensemble des missions de l’administrateur judiciaire, tout en étant soumis au respect du principe de l’égalité de traitement des créanciers. Le dirigeant en sa qualité d’administrateur, appelé « Eigenverwalter », bénéficie de certaines des prérogatives de l’administrateur judiciaire (p. ex. délais de préavis raccourcis). 

Au « Eigenverwalter » est adjoint un « Sachwalter » (équivalent d’un syndic). Il s’agit d’une personne qui intervient en qualité d’administrateur judiciaire dans d’autres procédures. Le « Sachwalter » se doit notamment, dans le cadre de sa mission, de tenir compte des intérêts des 

créanciers. C’est à lui seul qu’incombent les missions de supervision de la gérance (parmi lesquelles aussi le contrôle des dépenses de la vie courante des dirigeants), de déclaration d’insuffisance d’actifs, d’établissement d’un plan d’apurement du passif ou encore de déclaration des créances nées avant l’ouverture de la procédure collective (« Insolvenzforderungen »). Le « Eigenverwalter » ne peut gérer les affaires autres que courantes et contracter des dettes en dehors du cadre normal des affaires qu’avec l’accord préalable du « Sachwalter ». Ce dernier se doit d’aviser sans délai les créanciers ainsi que le tribunal en charge des procédures collectives de tout manquement grave. 

En règle générale, les tribunaux allemands en charge des procédures collectives sont très peu enclins à accéder aux demandes d’administration directe. Dans le cadre de l’examen des demandes d’ouverture d’une procédure collective, ils s’efforcent de déterminer si le requérant est, d’un point de vue tant personnel que commercial, en mesure de diriger l’entreprise dans cette situation. Pour ce faire, ils examinent généralement aussi l’attitude jusque là adoptée par la société envers ses créanciers, le montant des dettes et les perspectives d’avenir de l’entreprise (p. ex. l’existence ou non de commandes). Le fait que l’entrepreneur établisse un plan de redressement peut conduire à une décision favorable du tribunal saisi. Dans la majorité des cas, il s’agit de dissiper les doutes selon lesquels le débiteur cherche uniquement à se redresser lui-même. 

En cas de décision favorable du tribunal, il ordonne l’administration directe dans le cadre du jugement d’ouverture de la procédure collective. Il s’agit néanmoins d’une décision provisoire, qui doit encore être confirmée ou infirmée par l’assemblée des créanciers. A cet égard, le débiteur failli n’a pas la possibilité de former opposition contre la décision du tribunal ordonnant ou refusant l’administration directe (§ 6 InsO). Cependant, l’assemblée des créanciers peut, lors de sa première réunion, décider, avec l’assentiment du débiteur, de solliciter l’administration directe, qui doit alors par la suite être ordonnée par le tribunal (§ 271 InsO). 

Le débiteur failli se doit d’apporter un soutien actif dans le cadre de la procédure d’ouverture d’une procédure collective. L’administrateur judiciaire provisoire peut lui réclamer toutes les informations qu’il juge nécessaires à l’exécution de sa mission. Même les actes illicites doivent être déclarés auprès de l’administrateur judiciaire provisoire. En cas de manquement du débiteur failli à son obligation d’information, le tribunal peut l’obliger à comparaître et même, après l’avoir interrogé, faire rendre à son encontre une décision de justice ordonnant une mesure d’emprisonnement. C’est souvent au cours de cette phase de redressement judiciaire que sont d’ores et déjà posés les jalons de l’avenir de l’entreprise. Les prestations versées aux salariés d’une entreprise défaillante en lieu et place de leurs salaires (désignées par le terme « Insolvenzgeld », littéralement « indemnité d’insolvabilité »), offrent la possibilité de poursuivre l’exploitation de l’entreprise sans frais de personnel pour une période pouvant aller jusqu’à 3 mois. Il n’est pas rare que les bénéfices réalisés pendant cette période constituent la pierre angulaire du redressement de l’entreprise.

31 mars 2015
https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg 0 0 epp.content https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg epp.content2015-03-31 15:58:002021-04-06 09:58:31Entreprise allemande en état de cessation des paiements (insolvabilité) : Administration directe
Entreprises en difficultés

Entreprises allemande en état de cessation des paiements (Insolvabilité) : Rémunération des salariés

Ulrich Martin DEA / DESE
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En cas de cessation des paiements de leur employeur, les salariés allemands perçoivent une indemnité appelée « Insolvenzgeld » (littéralement « indemnité d’insolvabilité »), destinée à compenser la perte de salaire. Cette indemnité, accordée par répartition, est financée par les employeurs allemands au moyen de cotisations versées aux caisses d’assurance accident obligatoire (« Berufsgenossenschaften »). Versée à concurrence du montant net correspondant à la perte de salaire, cette indemnité ne couvre que les trois derniers mois de la relation de travail qui précédent la décision du tribunal statuant sur la demande d’ouverture d’une procédure collective (c’est-à-dire décision d’ouverture de la procédure ou rejet de la demande d’ouverture). 

L’indemnité dite « Insolvenzgeld » n’est versée que suite à une demande introduite auprès de l’agence fédérale allemande pour l’emploi (« Bundesagentur für Arbeit »). Le dépôt de la demande ne peut toutefois intervenir qu’à partir du moment où le tribunal a rendu sa décision concernant l’ouverture d’une procédure collective. 

Selon les procédures, certains administrateurs judiciaires procèdent à une avance sur le versement de l’indemnité d’insolvabilité (« Insolvenzgeldvorfinanzierung »). Pour le dépôt de la demande d’indemnisation, il convient de respecter un délai de deux mois (§ 324 al. 2 SGB III, Livre III du Code allemand de la sécurité sociale). Ainsi, une fois que le tribunal a rendu son jugement ordonnant ou rejetant l’ouverture d’une procédure collective, les salariés ne disposent plus que de deux mois pour transmettre leur demande. L’expiration de ce délai ne signifie pas une fin de non-recevoir, mais il devient plus difficile de faire aboutir les demandes d’indemnisation.

15 juin 2015
https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg 0 0 epp.content https://rechtsanwalt.fr/wp-content/uploads/2024/05/logo_header_fr_web.epp_.svg epp.content2015-06-15 10:18:002021-04-07 10:24:57Entreprises allemande en état de cessation des paiements (Insolvabilité) : Rémunération des salariés

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